Pourquoi la barre olympique
Catégorie: Vulgarisation / Temps de lecture: 2 minutesL’entraînement athlétique du Studio ne serait pas ce qu’il est sans la barre olympique. Elle prendra la vedette dans les aménagements qui arrivent à la fin de l’année (on vous en parle la semaine prochaine). En quelques lignes, voici ce qui nous séduit dans cet outil essentiel.
L’élégante simplicité de la barre olympique est un atout important. Une barre et quelques disques; on est parti! Cette configuration existe depuis le début du 20e siècle et son utilité n’a jamais été supplantée.
La versatilité de l’outil permet d’entraîner tout le corps avec des mouvements classiques comme le développé-couché (bench press), le soulevé de terre (deadlift), le développé-épaules (shoulder press) et le squat. L'usage avec enchâssement d'une extrémité dans une base pivotante (landmine) permet de travailler dans plusieurs plans. Des mouvements plus complexes en haltérophilie, qui font appel à la force, la puissance et la coordination, sollicitent plusieurs muscles dans un seul élan. Les possibilités sont infinies!
Le retour sur investissement est intéressant. La possibilité de s’attaquer à de bonnes charges, jumelées (ou non) à des mouvements pluriarticulaires proposent des efforts qui rapportent. Les gains en force et en puissance sont au rendez-vous. Ils sont utiles au quotidien ou dans nombre d’activités sportives; de la course à pied au rugby.
Le recrutement musculaire est plus important. La nature «libre» de la charge impose au corps de s’adapter pour stabiliser celle-ci. Cet effort est propre à distribuer les améliorations aux muscles engagés qui sont plus nombreux. Cette dynamique est plutôt absente sur les appareils avec assistance de mouvements où certains muscles sont plutôt isolés.
La facilité à mesurer sa progression est également un atout. Comme repère, la barre, et les mouvements qui lui sont associés sont d’une grande utilité. La mesure est précise, le progrès mesurable. L’engagement envers son entraînement ne peut être que renforcé lorsque l’on mesure ses progrès et le chemin accompli.
La progression peut être millimétrée avec l’usage de micro-disques. Contrairement à certains outils, la charge sur une barre peut être finement ajustée. En effet, la calibration est souvent plus grossière sur , par exemple les haltères (dumbbell) dont la variation entre chaque paire est souvent de plusieurs livres, Des disques de 1/4, 1/2, 3/4 et 1 lb sont disponibles au Studio pour aider dans une progression constante.
La maximisation des stimuli est au rendez-vous. L’usage possible de la barre, en avant ou arrière sur les épaules, permet l’exécution de mouvements avec des charges plus importantes. S’en suivent des adaptations qui pourraient être inaccessibles autrement à cause de facteurs limitatifs comme la force de préhension. On peut penser à une fente inversée (reverse lunge) pour laquelle il sera possible de charger lourd avec la barre, alors que le même exercice avec des haltères (dumbbell) ne pourra atteindre la même charge.
Au Studio, pour vous familiariser avec la barre olympique, les cours collectifs ATH sont la porte d’entrée.
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